Journée mondiale pour la fin du spécisme – compte-rendu

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En voilà un week-end qui booste le moral des militant-es ! Après une jolie (et tortueuse) balade dans le Jura, quatre membres du CABle se retrouvent dans le tramway genevois avec comme première très agréable surprise : la marche est annoncée sur les écrans des tramway ! Une fois installé-es dans notre chez nous temporaire, direction le premier rendez-vous militant du week-end …

Pour rappel, l’événement a été organisé par l’association PEA : Pour l’Égalité Animale.

Le programme :

21 août

21h – Conférence “Le spécisme, qu’est-ce donc?!” Salle Multatuli (rue de Montbrillant 16, derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

22 août

13h30 – Rendez-vous place de la Navigation

16h – Fin de la marche à Plainpalais

16h-16h30 – Discours

13h-18h30 – Village associatif à Plainpalais (stands d’information)

19h – Conférence et discussion “Lutter contre le spécisme: un enjeu crucial pour le XXIe siècle.” Salle Multatuli, rue de Montbrillant 16 (derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

23 août

11h-16h – Débats et partages autour du thème “Comment lutter contre le spécisme et pour l’égalité animale?” Salle Multatuli (rue de Montbrillant 16, derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

Vendredi : conférence de Yves Bonnardel : « Le spécisme, qu’est-ce donc?! »

La conférence a été filmée, nous attendons la vidéo. Yves nous a présenté le concept de spécisme qui peut se résumer ainsi :

Le spécisme est à l’espèce ce que le racisme et le sexisme sont respectivement à la race et au sexe : la volonté de ne pas prendre en compte (ou de moins prendre en compte) les intérêts de certains au bénéfice d’autres, en prétextant des différences réelles ou imaginaires mais toujours dépourvues de lien logique avec ce qu’elles sont censées justifier.

En pratique, le spécisme est l’idéologie qui justifie et impose l’exploitation et l’utilisation des animaux par les humains de manières qui ne seraient pas acceptées si les victimes étaient humaines.

Les animaux sont élevés et abattus pour nous fournir de la viande ; ils sont pêchés pour notre consommation ; ils sont utilisés comme modèles biologiques pour nos intérêts scientifiques ; ils sont chassés pour notre plaisir sportif.

La lutte contre ces pratiques et contre l’idéologie qui les soutient est la tâche que se donne le mouvement de libération animale.

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à consulter les Cahier Antispécistes, d’ou est tirée par ailleurs cette définition : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article13

Samedi : La marche contre le spécisme à Genève

Arrivé-e-s au rendez-vous place de la Navigation, une autre agréable surprise : alors qu’on craignait n’être que peu nombreux, c’est entre 500 et 700 personnes qui ont fait le déplacement malgré la période estivale généralement réservée aux vacances.

La marche s’est déroulée sous un soleil de plomb, ponctuée de plusieurs happening. Vous pouvez trouver plein d’images un peu partout : le site de l’association PEA (Pour l’Égalité Animale) héberge un chouette album et nous propose également cette belle vidéo.

Quelques extraits :

Un die-in sur un pont :

Des regards …

Et un très, très grand cercle sur une très grande place.

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La couverture médiatique a été impressionnante. Yves Bonnardel dresse une liste exhaustive des journaux ayant relaté l’événement dans son propre compte-rendu.

Quelques exemples :

La marche à travers le monde :

Une chouette vidéo de l’action à Montréal : https://www.youtube.com/watch?t=15&v=ABp7Si9qAuE

La marche a aussi eu lieu en Georgie, ou encore à Toronto.

Samedi soir, conférence de Mata’i Souchon : “Lutter contre le spécisme: un enjeu crucial pour le XXIe siècle.”

La conférence avait pour but de souligner l’importance de la politisation de la lutte en faveur des droits des animaux. Mata’i nous a livré une critique de la « stratégie de la conversion », à savoir une forme de militantisme interpersonnel visant à convaincre du bien-fondé du mode de vie que l’on cherche à promouvoir, et qui peut ici être résumé par la phrase “Devenez végane”. L’idée étant que le faible nombre de militant-es obligerait au préalable d’augmenter les rangs des véganes jusqu’à une masse critique, avant de pouvoir légitimement afficher des revendications politiques (comme la fermeture des abattoirs par exemple).

Les principales objections sont :

  • Perte de beaucoup de temps et d’énergie.
  • Appel à l’éthique de la vertu personnelle, avec le risque de cantonner le véganisme à un mode de vie qui serait tout aussi légitime qu’un autre (comprendre manger de la viande)
  • Les principaux grands mouvements sociaux n’ont pas attendu un grand nombre de militant-es pour faire bouger les choses (abolition de l’esclavage, avancées féministes …)
  • impossibilité d’atteindre certaines franges de la population n’ayant pas les disponibilités « sociales » pour réfléchir à la problématique (manque de temps, de moyens,…)

Focaliser son engagement militant sur la lutte contre le spécisme permet en revanche d’annoncer des revendications claires au niveau de la société, en vue de plus de justice sociale. Même des petites victoires à court terme sont constructives : interdiction du foie gras, interdiction des œufs de batterie, ou encore l’abolition de la corrida ; même si cela n’implique qu’une infime partie des innombrables victimes du spécisme, cette avancée permettrait « d’abaisser le plafond de l’acceptation de la violence » , dans ce cas, le refus d’utiliser la vie d’individus dans le seul but de divertir les animaux humains.

Mata’i s’inspire de l’excellent texte de Pierre Sigler :

http://abolitionduveganisme.blogspot.fr/2014/07/de-lappel-la-vertu-lexigence-de-justice.html

On peut citer également le texte « L’exploitation animale est une question de société » (Pierre Sigler et Yves Bonnardel, trouvable sur cette page avec plein d’autres textes : http://www.reseau-antispeciste.org/199)

Dimanche : Sur les stratégies contre le spécisme : Une journée de travail productive

De 11h à 16h30, entre 15 et 20 militant-es ont planché sur comment améliorer notre efficacité militante. Une première phase de débat a permis de dégager un certain nombre de thématiques. Nous avons ensuite constitué des groupes de travail sur les thèmes suivants :

  • Le militantisme par Internet : Web, réseaux sociaux, listes de discussions, etc.
  • Le recrutement de nouvelleux militant-es
  • Le développement de l’opposition au spécisme à l’international
  • Humour, ironie, détournement…

Les cablé-e-s se sont positionnés dans le premier groupe. Nous avons ensuite restitué le résultat de nos réflexions.

Yves a fait un compte-rendu vraiment très exhaustif sur cette journée alors plutôt que de tout réécrire, autant lui « passer la parole » (lire la suite pour les motivé-e-s).


Annexe : Compte-rendu étendu sur la journée de travail du 23 août d’Yves Bonnardel :

(…) Bon, on a donc d’abord discuté à bâtons rompus en “grand groupe”, puis après avoir mangé, on s’est dispatchés en quatre petits groupes pour continuer (on était alors moins nombreux aussi parce que des personnes avaient dû partir entre-temps) pendant une demi-heure, avant de refaire un retour en grand groupe.

Alors, voilà ci-dessous une tentative de rendre compte des différentes choses qu’on a discutées pour faire avancer le schmilblick antispéciste dans le monde entier, hasta la victoria ! Les diverses personnes qui étaient présentes et qui sont sur la liste, n’hésitez pas à rajouter des points qui auraient été oubliés, ou bien à modifier ce qui vous semble avoir été retranscrit de façon infidèle… 🙂

On était une bonne vingtaine, je crois ; on a dans un premier temps abordé plein de sujets d’une façon pas nécessairement très construite (une sorte de brain-storming décousu), avant de constituer plusieurs sous-groupes.

Les sous-groupes proposés étaient :

– Le militantisme par Internet : Web, réseaux sociaux, listes de discussions, etc.
– Le recrutement de nouveaux militants
– Le développement de l’opposition au spécisme à l’international
– Les stratégies du discours/plusieurs niveaux de discours/améliorer le discours, l’argumentaire…
– Les événement publics : marches, conférences, projections de films, interventions diverses, événements ponctuels ou réguliers dans la rue ou autre, distributions de tracts, affichages…
– Comment briser la frontière d’espèce ? La briser partout et sans cesse
– Humour, ironie, détournement… (cf. Dan Piraro/”Bizarro (comic strip)” sur fb)
– Les alliances : avec les écolos, les mouvements progressistes, les animalistes spécistes, en vue de plus del’éducation populaire, les syndicats…
– Le lobbying : journalistes, politiques, etc.
– Les sympathisants, les réseaux d’entraide…

Ont aussi été évoqués brièvement les referendums (on est en Suisse !) et les pétitions…

Finalement, les sous-groupes ont eu lieu sur les sujets suivants :

– Le militantisme par Internet : Web, réseaux sociaux, listes de discussions, etc.
– Le recrutement de nouveaux militants
– Le développement de l’opposition au spécisme à l’international
– Humour, ironie, détournement… (cf. Dan Piraro/”Bizarro (comic strip)” sur fb)

Alors, compte rendu par sujet :

– Internet/Web/Réseaux sociaux/etc.

Ont été évoqués dans un premier temps en grand groupe :
– faire une interface centralisatrice, qui redispatche des infos et liens, et qui soit indexée sur des mots clés généralistes comme : liberté, égalitarisme, égalité, liberté animale… (en plus de spécisme, antispécisme, égalité animale, etc.)
– un site avec diverses infos sur le spécisme : pages qui regroupent des infos d’éthologie, de médecine, de personnalités, d’analyses, etc. Banque de connaissances…
– créer un wiki participatif qui devienne une base de données utilisable par tous les militants (style l’excellent http://bibliodroitsanimaux.), qui mette aussi en ligne des tracts, des brochures, etc. On a parlé du site un peu à l’abandon http://reseau-antispeciste.org mais on a oublié de parler de http://animauzine.net
– il existe déjà une liste francophone de discussions :
<reseau-antispeciste@poivron.

– quand on va sur google => on arrive sur wikipedia (spécisme) : il faudrait que la page wikipedia soit un indicateur de sites, renvoie sur divers liens ; des féministes se dédient à combattre le biais masculin sur les pages wp, en en créant par exemple de nouvelles sur des femmes historiques passées sous silence…

– créer un site web moderne d’intro à l’opposition au spécisme, avec des vidéos, etc. On a bien déjà le site http://pense-bete.org, mais qui dans “que faire ?” renvoie seulement au fait de devenir vegan, renseigne seulement sur le véganisme. Il faudrait faire une porte d’entrée pour la personne qui n’y connaît rien, qui traite de la question sous l’angle des conséquences d’une discrimination (ou domination), qui explique comment le spécisme imprègne la société tout entière…

– faire un site ou un blog n’est pas suffisant : il faut le faire connaître ; il faut s’inspirer des techniques de campagne pour faire connaître ce qu’on fait sur Internet (ex. de la campagne vidéo avec une télé aux rayons X – je ne développe pas ici, c’est juste un rappel pour les personnes qui étaient présentes)
– faire un blog d’actualité(s), qui montre que l’angle d’analyse antispéciste est pertinent, pas que sur des questions animalistes d’ailleurs (égalitarisme, antinaturalisme…)

Dans un second temps, ont été évoqués :
– créer un wiki contributif ; qui accumule les infos ; bibliothèque tout public, par exemple ; il s’agirait, de façon neutre, de recentraliser plein d’infos importantes disséminées partout ; un site fédérateur, correspondant à une plateforme…

– facebook : création d’une page “je suis une pub spéciste” un peu sur le modèle de la page fb déjà existante “je suis une pub sexiste” ; déjà créée par Axelle qui vient de rejoindre la liste reseau antispéciste.
– démarcher les sites déjà existants pour écrire des contributions concernant la question du spécisme…
– utiliser les buzz médiatiques pour parler de spécisme à chaque fois que c’est possible, pour surfer sur la vague en la menant dans notre sens…
– utiliser plus l’humour

– création de groupes ou communautés facebook de réflexion et de travail “reseau antispéciste” en FR (français) et en EN (anglais, etc.), avec comme co-administrateurs Jola, Yannis et Yves (votre serviteur), pour dynamiser le mouvement. En fait, les gens qui viendraient de fb pour aller sur ces groupes fb seraient redispatchés (avec leur accord) vers un autre type de réseau social copie de facebook, mais qui ne flique pas les gens, style Diaspora ou Framasphère, Su.co ou TSU.

– Recrutement :
Ont été évoqués dans un premier temps en grand groupe :
– contacter des étudiants qui peuvent être stagiaires, ou faire des services civiques ; des étudiants en info-comm’ (graphisme, webmastering…), des bibliothécaires, etc.
– organiser des conférences ou des présentations/débats intéressants : beaucoup de gens sont susceptibles de venir et de nous rejoindre ensuite si ça les a intéressés.
– appels à compétences sur les réseaux sociaux, sur les sites…

– d’après le sociologue Traïni (il y a à prendre et à laisser, dans ce que dit ce type-là), les gens viendraient à l’antispécisme par trois voies différentes :
1) les gens qui sont sensibles aux animaux, par ex. qui sont contre la fourrure, et qui réalisent ensuite que c’est incohérent de manger au même temps les animaux, par ex. en venant aider à des stands d’info et en voyant qu’il n’y a que des militants végétariens ou liens.
2) les gens qui sont dégoutés par la viande à la base et qui ensuite se trouvent une argumentation rationnelle pour justifier/expliquer leur dégoût/refus.
3) les personnes qui militent contre le racisme et le sexisme et qui réalisent ensuite que lutter contre le spécisme est une continuation logique. Bref, il faudrait réfléchir à des stratégies différentes selon les trois catégories en question…

Ensuite, en petit groupe, il a été discuté de :
– gros boulot à faire en ligne pour trouver des personnes compétentes et dispos
– éventuellement payer des webmasters ou graphistes (faire alors des campagnes de soutien, appels à dons, à crowfounding ,etc.)
– faire des appels à bénévoles sur les pages fb, les forums, etc., et notamment des appels à personnes resssources (graphisme, vidéos, tracts, sites, etc.)

– Développement à l’international :
Ont été évoqués dans un premier temps en grand groupe :
– Continuer les traductions du site de la Journée mondiale pour la Fin du spécisme ; Orkan de FUDA vient du Maroc et pourrait peut-etre traduire en arabe ; Yannis est grec et pourrait peut-être avec les gens de 269Life Grèce…
– Continuer le travail via les réseaux sociaux (fb, twitter, instagram…)

Puis en petit groupe :
– importance de participer aux rencontres, aux colloques, “conférences” et autres, internationales, et d’y proposer des comptes rendus des actions comme la marche pour la fin du spécisme, ou plus généralement des discussions autour des stratégies développées
– développer le travail via les réseaux sociaux, la traduction en anglais, éventuellement espagnol ou portugais ou autres, des compte rendu, des vidéos, etc.

– dans de nombreux pays (notamment aux USA et au RU), les vegans et/ou militants disent : “les gens ne sont pas prêts à entendre un message antispéciste ; ils n’en voient pas l’intérêt ; il n’est pas encore temps d’en parler…” ; du coup, c’est important de montrer que des initiatives comme la marche… marchent ! Tant au niveau de l’adhésion des militants qu’au niveau médiatique…

– il faudrait pouvoir contacter nombre de grosses assos du monde entier, pas seulement par mail, mais aussi par tél. pour tenter de les motiver ; c’est un énorme boulot qu’on n’a jamais réussi à vraiment faire… 🙁 Cf. l’annuaire World Animal Net dont on a toutes les adresses mails, mais dont les assos ne sont pas réceptives à de simples mails)
– il faut à tout prix (re)lancer l’intérêt des animalistes via des vidéos
– faire appel tout particulièrement aux plus grandes assos, comme PETA, etc.
– là, Anou et Kati sont partants pour aller au IARC parler en anglais de la Marche et de la politique de PEA – Pour l’égalité animale ; Jola Cora compte aller à New York en causer aussi à l’International Conference des US (et tenter d’organiser une marche pour la fin du spécisme l’année prochaine à NYC).
– refaire un outil qui permette d’envoyer des mails à l’international en masse

Concernant le maniement de l’humour, il a été question :
– du petit livre Désobéir par le rire (les désobéissants éd.)
– des clowns
– de l’humour dans les brochures, livrets, tracts, etc., à manier sans retenue.
– des détournements d’image, à faire plus souvent

– du fait d’utiliser plus et plus souvent les images comme supports pour rendre attrayant les messages
– d’aller dans les manifs d’éleveurs pour tenir un message spéciste outré (style les “manifs de droite”)

– d’utiliser aussi la musique comme outil humoristique (tiens, une vidéo d’appel à la marche utilise le son d’animaux de façon assez réussie, sous cet angle : https://vimeo.com/136371762)
– créer une page fb “je suis spéciste”, humoristique
– encourager le développement d’un humour antispéciste comme il y a un humour vegan…

Sinon, pêle-mêle, choses qui ont été dites :
– les petites actions répétées et régulières ont un impact (médiatique) au début, mais le perdent rapidement ; elles ont tendance, au fil du temps et de la répétition, à user les militant-es. Des grossses actions ponctuelles sont plus difficiles à organiser, demandent plus de moyens, mais ont un plus grand impact.

– on pourrait organiser des marches sur des revendications plus précises que la seule fin du spécisme : l’abolition du statut de propriété des animaux ; l’information dans les écoles et ailleurs sur le spécisme ; etc.
– je rajouterais bien que ce serait bien de faire un gros événement contre la consommation de poisson, les élevages et la pêche : c’est 95% de la souffrance animale (si on excepte les insectes) !!! On ne peut pas ne pas en parler (à moins d’être spécistes ! 🙂 ).

– il y a des actions mensuelles qui fonctionnent bien dans d’autres domaines que le domaine animaliste, comme les critical mass (les vélorutions) anti-bagnoles ; mais c’est parce que ce sont des rencontres/actions qui sont par elles-mêmes festives et auxquelles les gens reviennent toujours avec enthousiasme… Il faudrait trouver des équivalents dans le domaine animaliste (autres que les traditionnels pics-nics végans)

– projections de films avec débats critiques : “speciesism, the movie”, “eathlings”, “bold native”, “le jugement”…

Wikipedia :
Il a aussi été décidé de créer un groupe dédié à intervenir sur wikipedia, notamment sur la page spécisme (2000 vues rien qu’en trois semaines en août 2015) et sur d’autres pages connexes, pour introduire à chaque fois que possible le point de vue des animaux, et la question du spécisme ; déjà, traduire bien souvent les pages anglophones ; contrer les oppositions spécistes sur wp, en étant plusieurs ; etc. ; rendre accessibles des documentaires/vidéos intéressants anglophones…

Ce groupe peut bien sûr être rejoint par d’autres personnes ; il va être créée une liste de discussions spécifique dédiée à ce projet. Je vous tiendrai au courant, je devrais avoir l’aval de riseup incessamment sous peu, pour un nom de liste : wikipedianimal…
L’idée était aussi de rajouter sur les pages wikipedia des considérations animalistes, ou des volets animalistes, sur des thèmes généralistes qui concernent la question animale, comme sur les mots ou formules : égalité, liberté, non-violence, droit du plus fort…

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