À l’occasion de la Journée internationale sans viande, qui a lieu tous les 20 mars, nous avons distribué des tracts à plusieurs endroits de Besançon. Organisé-es en équipe de deux, nous nous étions placé le mercredi 18 au restaurant universitaire de la fac de Lettres, le jeudi 19 au restaurant universitaire Canot et le vendredi 20 aux alentours de la place du Marché. Une bonne occasion pour faire réfléchir à une réduction de sa consommation de viande… voir à sa suppression.
Nous en profitons pour partager ici cette tribune parue sur le site de Libération. Elle aborde des thèmes que nous trouvons importants tels que le spécisme et la critique de l’idée de nature. Extraits :
« Refuser son identité d’espèce en se définissant comme un être vivant et sensible est un moyen de lutter contre le spécisme et de favoriser l’avènement d’une société démocratique multi-espèces, telle que celle proposée par Sue Donaldson et Will Kymlicka dans Zoopolis. »
« Or, de même que la catégorie raciale et la catégorie de sexe sont le produit de rapports sociaux de domination qui leur préexistent et qu’elles légitimisent en les naturalisant, de même la catégorie d’espèce est le produit des relations de domination que les êtres humains exercent sur les autres animaux et dont elle interdit la contestation au nom de la Nature. »