Les grenouilles

Chaque année, 300 millions de grenouilles sont capturées et tuées sauvagement pour leurs cuisses !!!

Les populations de grenouilles vertes et rousses s’étant effondrées en Europe, le marché se développe maintenant en Asie, en Inde et au Bangladesh.

Pour les capturer, les ramasseurs longent les rivières et les milieux humides la nuit, les attrapent à l’aide d’épuisettes, d’hameçons ou de harpons et les entassent dans des sacs.
Parfois, le parcours jusqu’au centre de découpe est long ; certaines meurent étouffées.

Elles sont ensuite entaillées à la nuque, coupées en deux puis éviscérées. Les deux cuisses sont arrachées et le reste du corps est jeté au sol… Les grenouilles sont encore conscientes et vont mettre plusieurs minutes à mourir.

Retour : les poissons

Pêche de loisir

En France, il y a environ 2 millions d’amateurs de pêche… tous sans aucune formation préalable ni informés sur la manipulation des poissons, la conservation des espèces, la pollution (de l’eau et mort des oiseaux par ingestion de plombs), etc…

Le principal problème de la pêche reste, comme pour toute exploitation animale, la souffrance du poisson : en effet, l’hameçon peut s’accrocher dans le palais ou l’estomac, blesser l’animal, voir même entraîner sa mort.
Le stress engendré par la capture (que le poisson soit relâché ou pas !) est inacceptable !!!

La notion de « loisir » évoque le plaisir, et donc une absence de souffrance… que NOUS la subissions directement ou que NOUS l’infligions à un autre être sensible.

Retour : les poissons

Pêche industrielle

En raison de la pêche intensive, la plupart des espèces aquatiques sont aujourd’hui au bord de l’extinction : 75 % des stocks mondiaux sont surexploités. Malgré ces chiffres alarmants, 90 % des subventions européennes sont toujours destinées à la pêche industrielle.

La cour européenne a condamné la France à payer une amende de 20 millions d’euros (payés par les contribuables !) pour ne pas appliquer depuis plus de 20 ans un règlement visant à la conservation des ressources de la pêche afin de protéger les différentes espèces de poissons : vérification des tailles minimales des maillages des filets, contrôle des ventes….

Dans 20 ans, 40 % du poisson destiné à la consommation humaine sera issu de l’aquaculture, les océans ne pouvant déjà plus répondre, aujourd’hui, à la demande toujours croissante.

Retour : les poissons

Poissons d’élevage

La surpêche ayant décimé nos océans, les industriels élèvent maintenant les poissons dans des cages ou des bassins : on appelle ça de l’aquaculture et de la pisciculture.
Ces deux concepts concernent de plus en plus d’espèces mais essentiellement les truites, daurades, turbots, bars, saumons et cabillauds.

Le confinement et les densités d’élevage provoquent douleurs (dûes aux frottements entre poissons), stress et maladies (poux de mer, cataractes, malformations).
On élève 60 kg de poissons par m3 d’eau, soit l’équivalent de 27 truites dans une baignoire.

Les poissons sont affamés 7 à 10 jours avant l’abattage, puis asphyxiés à l’air sur de la glace ou étourdis avec de l’eau saturée au dioxyde de carbone. L’agonie peut durer jusqu’à 15 minutes.

1 poisson sur 4 consommé en France provient d’élevage.
La France est le premier producteur mondial de truites d’élevage.

Les méfaits de ces élevages :
– pour lutter contre les maladies, plusieurs antibiotiques, hormones et stéroïdes sont administrés aux poissons : pollution de l’écosystème alentour et résistance aux antibiotiques.
– disparition des poissons sauvages : pour produire 1 kg de saumon, il faut 25 kg de poissons (généralement sauvages).
– destruction des mangroves, pour faire des élevages de crevettes, provoquant destruction d’autres espèces maritimes, érosion et inondations.

Retour : les poissons

Poissons sauvages

Dans les océans et mers, les bateaux ont adoptés différentes techniques pour pêcher, en moins de temps possible, le maximum de poissons :
– soit en encerclant les bancs de poissons avec un énorme filet (1000 m de long sur 100 m de haut)
– soit en laissant traîner un filet au fond de l’eau, raclant les fonds de mer. Tous les poissons qui y entrent sont poussés par le mouvement de traction en direction du fond du filet. Les poissons se frottent et s’écrasent entre eux, abimant leurs écailles.

En remontant les filets à la surface, la pression de l’eau est telle que les yeux des poissons sortent de leurs orbites. Une fois jetés sur le pont du chalutier, ils agoniseront de longues minutes avant de mourir asphyxiés… ou directement broyés pour finir en farine.

Bien évidemment, les filets ramassent toutes les espèces aquatiques ; celles qui ne sont pas consommées par l’homme sont rejetées à l’eau… Souvent blessées ou mortes.
Parfois, le filet se décroche du bateau, dérivant au fond de l’océan et entraînant avec lui tous les poissons piégés ; une fois ces derniers décomposés, le filet remonte et recommence un nouveau carnage.

Certaines espèces comme le cabillaud, la lotte et la langoustine sont très menacées par la surpêche.

De plus, les poissons se font de plus en plus rares ; les chalutiers doivent donc traîner leur filet de plus en plus profond et la maille du filet plus serrée.
Cela engendre une pêche :
– de poissons trop petits pour être vendus.
– de jeunes poissons reproducteurs qui pourraient relancer la croissance de certaines espèces.
– des poissons non comestibles.
– des espèces protégées comme les tortues, les phoques, les dauphins. Ainsi chaque année, 300 000 cétacés meurent dans les filets de pêche.

Le poisson : bon pour la santé ?
Quand on sait que l’océan est une véritable décharge pour les hommes, il ne faut pas s’étonner que l’on retrouve dans l’eau, et donc dans la chair des poissons :
– des substances radioactives (strontium 90)
– des métaux lourds (mercure, plomb)
– des substances cancérigènes (Dioxines, PCB, Arsenic)

Retour : les poissons

Le foie gras

La production de foie gras implique la naissance de 82 millions de canetons et 700 000 oisons.
Par définition du foie gras, le gavage est obligatoire.
Cette pratique est interdite en Allemagne, Angleterre, Norvège, Suisse, États-Unis, Israël… etc

Dès l’éclosion de l’œuf, les volatiles sont séparés par sexe : les mâles sont destinés à être gavés, les femelles sont broyées (leur foie étant impropre à la consommation car trop nervé).

Deux fois par jour, les mâles, enfermés dans des cages individuelles, vont se voir administrer directement dans l’estomac (à l’aide d’un tube) des quantités énormes en très peu de temps de maïs chaud.

Suite au choc du gavage, l’animal est pris de diarrhées et de halètements.
Le gavage répétitif va engendrer une stéatose hépatique, c’est-à-dire une maladie du foie qui va multiplier sa taille par 10… ce qui va engendrer des difficultés respiratoires importantes.

Après 10 à 12 jours de gavage intensif, si l’animal a survécu à ces atroces conditions de vie, les animaux sont amenés à l’abattoir… toujours dans les mêmes conditions que les poules et poulets.

Pour plus d’infos :
Stop gavage
PMAF

– Les alternatives au foie gras pour un noël sans cruauté :
Le faux gras

Retour : les volailles

Les poules pour les œufs

En Europe, 80 % des œufs sont issus d’élevage en batterie.

« Quel que soit le mode d’élevage, les oeufs éclosent dans d’immenses couvoirs. A l’éclosion, les poussins sont triés : les mâles (qui ne pondent évidemment pas d’oeufs) sont éliminés, soit gazés, soit broyés. Les souches de gallinacés utilisées pour les élevages de poules pondeuses sont différentes de celles utilisées pour les poulets de chair (poulets élevés pour leur viande). »
[citation du site de L214, voir le dossier Oeufs et poules pondeuses)

À l’état naturel, une poule pond 12 à 24 œufs/an ;
En batterie, le chiffre passe à 300 œufs/an… Une preuve que la ponte des œufs est bien une fonction physique et non un signe psychologique de bien être !!!

La (courte) vie d’une poule pondeuse se résume en quelques termes :
– Des médicaments, vaccins et hormones vont faire partie de leur alimentation pour améliorer leurs conditions de vie… euh ! la rentabilité plutôt !!!
– Débecquage à l’arrivée : mutilation qui consiste en une amputation d’une partie du bec avec une lame chauffée à rouge.
– Enfermées dans des cages par groupe de 5, chacune possède une place équivalente à une feuille A4 ; elles vont devoir pondre leurs œufs sur un sol grillagé, incliné (pour faciliter le ramassage des œufs) sans pouvoir se cacher de ses congénères (ce qui frustre beaucoup la poule). Impossible, de marcher, de déployer ses ailes, de se nettoyer ; pas de sable ou de litière pour se faire un nid.

De plus, de la lumière, artificielle, leur est infligée 23 heures par jour (pour un rendement maximum).

Le grillage au sol va entraîner d’importantes fragilités osseuses, ce qui va par la suite entraîner stress, maladies, ce qui peut engendrer aussi violence, cannibalisme et souvent aboutir à la mort.

Après un an et demi de bons et loyaux services, les poules vont être malmenées lors du ramassage (24 % d’entre elles subissent des fractures), puis transportées à l’abattoir.
La chaleur dans les camions, le long transport, les fractures, etc… vont encore provoquer la mort de plusieurs d’entre elles.

Pendues par les pattes, leur tête passe dans un bac d’eau électrifiée (afin de les étourdir) pour ensuite être égorgée.

Leur chair n’étant pas fameuse au goût, elle servira à la fabrication de potages, de raviolis, de bouillons cubes ou à faire de la nourriture pour chiens et chats.

Votre pouvoir d’achat joue un rôle sur les conditions de vie des poules : à défaut de ne plus consommer d’oeufs, vous pouvez refuser ceux issus d’élevage en batterie :
Comment choisir ses oeufs ?

Retour : les volailles

Les poulets de chair

Enfermés dans des hangars sans fenêtres, les poulets sont entassés et livrés à eux-mêmes (sans présence maternelle, il est difficile pour eux de trouver mangeoire et abreuvoir).

Pour que la production soit plus rapide, des hormones de croissance sont données aux poulets… aussi bien qu’ils atteignent 2 fois leur poids normal à 6 semaines.
Bien évidemment, la croissance de leurs os ne suit pas celle de la chair, ce qui provoque douleurs et déformations des pattes. Certains n’arrivent plus à se déplacer et finissent par mourir et par être mangés par leurs congénères.

Chaque jour, les éleveurs ramassent des cadavres de poulets n’ayant pas survécus à la chaleur, l’obscurité, la saleté de la litière engendrant des maladies, le manque d’intérêt et d’exercices.

À l’âge de 6 à 7 semaines, les poulets de chair sont assez gros pour être abattus. (En bonne santé, leur longévité est de 6 à 7 ANS).

Le ramassage, le transport et l’abattage va provoquer beaucoup de souffrance et de stress.
Entassés dans des petites caisses, leur route vers l’abattoir est longue et, là encore, beaucoup de poulets vont mourrir à cause des mauvaises conditions. Pendus par les pattes, les poulets sont électrocutés puis égorgés.

Retour : les volailles

Les associations de défense animale

En Franche-Comté

ASPA – www.protection-animale70.fr

« L’association est née en janvier 2009 avec l’aide de la municipalité de Vesoul….
Quand on aime, on ne compte pas. Et nous, on aime les chats, tous les chats, ceux du dedans et ceux du dehors, les sans famille et les oubliés.
Notre mission : stériliser, soigner et faire adopter les chats errants sur la ville de Vesoul et sa périphérie, car la prolifération des chats est un problème récurrent dans notre société. Nous avons donc décidé d’agir pour endiguer avec nos moyens ce problème. »


Association Défense du Cheval (ADC) – adcdefenseducheval.e-monsite.com
LA DEFENSE DU CHEVAL (ADC) a été crée par Jules NICOLAS et tous les collaborateurs de l’association, elle a espoir de continuer à défendre les mauvais traitements affliger aux chevaux.

Au bonheur des chats libres – www.chatlibre25.fr
Notre rôle essentiel est de permettre aux chats libres bisontins et des environs de vivre en paix sur leur territoire.
Le but de notre association comme des Ecoles du chat de France est de stériliser les chats de la rue pour enrayer la prolifération et donner à ces chats le statut de « chats libres ».
Les chats non sociables sont remis sur leur lieu de vie. Nous ne possédons pas de refuge mais si des chats adultes ou des chatons s’avèrent être sociables et adoptables, nous nous efforçons de leur trouver une place dans une de nos familles d’accueil et si cet accueil est possible, nous faisons tout pour leur
trouver un nouveau foyer.

CAT PATT’ CENT FAMILLES – 4 route de cléron – 25620 MALBRANS – 03 81 86 40 25
L’association CAT PATT’ CENT FAMILLES « gère » :
– les chats nés libres en les faisant tatouer & stériliser avant de les relâcher sur leur territoire
– les chats domestiqués puis abandonnés (oubliés lors d’un déménagement par exemple…) le cas échéant en les faisant tatouer & stériliser et leur trouve une nouvelle famille
– sociabilise, le cas échéant, ceux d’entre eux dont l’âge le permet- et plus particulièrement les chatons)- avant leur placement sous contrat (avec obligation pour l’adoptant de le faire tatouer & stériliser).
L’association vient également en aide aux familles dont la chatte a mis bas, en plaçant les petits (sous contrat) à la condition sine qua none que la chatte soit stérilisée.

Les Chats du Pays d’ORNANS – 3 rue Père CHAILLET – 25290 SCEY EN VARAIS – 03.81.62.15.49

Le but de notre association est de récupérer les chats abandonnés
– De proposer à l’adoption les chatons vermifugés et traités contre les puces et les adultes stérilisés, testés, tatoués

Centre ATHÉNAS – www.athenas.fr

Le centre ATHENAS est le seul centre de sauvegarde de la faune sauvage en Franche Comté et Bourgogne Est. Il recueille et soigne chaque année plus de 1200 animaux sauvages en difficulté, pour les relâcher dans le milieu naturel. C’est également le seul en France à traiter lynx et chat forestier.

Ecole du Chat d’Arbois – BP mairie – 39600 ARBOIS

Galop Pour La Vie http://galoppourlavie.forumactif.net

Association de sauvetage chevaux & autres équidés

LEST – http://lest-asso.servhome.org
LEST (Luttons Ensemble pour la Sauvegarde de la Terre) est une junior association habilitée en avril 2005 par des jeunes de 13 ans souhaitant défendre les animaux et l’environnement. Aujourd’hui, LEST a grandi, c’est avant tout une association militante qui lutte activement pour sensibiliser le public aux droits des animaux, à l’écologie radicale et au Véganisme.

La LPO Franche-Comté – http://franche-comte.lpo.fr
LA LPO a pour but la protection des oiseaux et des écosystèmes dont ils dépendent, et en particulier de la faune et de la flore qui y sont associées, en Franche-Comté.

Pontanimalistehttp://pontanimaliste.wifeo.com/actions-dans-le-doubs.php
Association sur Pontarlier pour l’abolition de toute souffrance animale

SPA de Dole – http://spadole.free.fr

SPA de Pontarlier www.spa-pontarlier.com

SPA DE GRAY ET DE HAUTE SAÔNE – http://www.spa-gray-70.odavia.com

SPA de Besançon et de Franche-Comtéhttp://www.spa-besancon.fr

SPA BELFORT REFUGE DE L’ARCHE DE NOÉ www.spabelfort.com

SPA du pays de Montbéliard

En France


Fondation Brigitte Bardot (avec un bémol sur l’individu, pas sur la Fondation…) – www.fondationbrigittebardot.fr

One Voice
www.one-voice.fr

Peta (avec un bémol sur le sexisme des campagnes de publicité) – www.petafrance.com

Association Stéphane Lamart pour la défense des animaux – www.associationstephanelamart.com

AHIMSA: Association pour la défense des animaux – www.ass-ahimsa.net

Associations – Protection des animaux – www.protection-des-animaux.org/associations

Le site de la Protection mondiale des animaux de ferme – www.pmaf.org

International Campaigns – http://international-campaigns.org

Pro anima – www.proanima.fr

Droits des animaux – www.droitsdesanimaux.net

Toutes les actions

Les actions internationales relayées localement :

Les actions nationales relayées localement :

  • Action Poule pondeuse de la PMAF
  • Action contre l’inscription de la corrida au patrimoine culturel immatériel de la France
  • Action Poule pondeuse de L214

Les actions locales :