Les animaux dits de compagnie – liens

(en construction)

# Informations généralistes

Trafic d’animaux familiers : le scandale européen par One Voice

Abandons d’animaux domestiques en France sur Planetoscope

Animaux domestiques et départ en vacances : Des conseils sur 30 Millions d’Amis

# Chiens et chats

Articles écrit par un comportementaliste sur le site de la SPA de Besançon

# NACs (nouveaux animaux de compagnie)

Campagne de Code Animal

# Rongeurs et lapins
# Chevaux
badge peluches

d’après une peinture de Luke Chueh

Interview : La révolution végétarienne – Thomas Lepeltier

Une interview parue ici le 19 février 2014.

animauxThomas Lepeltier est historien et philosophe des sciences. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Darwin hérétique (Seuil, 2007) et Univers parallèles (Seuil, 2010). Il vient de faire paraitre aux éditions Sciences Humaines La Révolution végétarienne, son premier ouvrage sur l’éthique animale et a accepté avec enthousiasme de répondre à mes questions. 

 

En décembre 2012, vous avez publié « Faut-il encore manger de la viande ? » dans Sciences Humaines. Était-ce votre premier texte sur la question ? Comment avez-vous commencé à vous intéresser aux questions d’éthique animale ? Étiez-vous déjà végétarien au moment d’écrire cet article ?

J’ai commencé à m’intéresser véritablement à la question animale à partir de ma lecture du livre de Charles Patterson, Un Éternel Treblinka (trad. franç. 2008). J’en ai écrit un compte rendu positif pour Sciences Humaines, publié en mars 2008. Ce petit texte est donc le premier que j’ai écrit sur la question. Après la lecture de ce livre, j’ai diminué drastiquement ma consommation de produits d’origine animale (viande, lait, œufs). Mais je ne suis pas tout de suite devenu végétalien. Autant j’estimais que les arguments en faveur du végétalisme étaient très forts et qu’une diminution importante de la consommation de produit d’origine animale ne pouvait être qu’une bonne chose d’un point de vue éthique, autant je voulais être sûr qu’il n’existait pas de contre-arguments au bien-fondé du végétalisme avant de devenir véritablement végétalien. Je me suis donc mis à lire la « littérature » sur le sujet.
Continuer la lecture