Table de presse/tractage samedi 13 février

Toutes nos excuses pour les personnes potentiellement intéressé-e-s, mais nous sommes contraint-e-s d’annuler l’action de ce samedi pour cause de pluie. Ce n’est que partie remise.

Ce samedi 13 février, à 15h, n’hésitez pas à venir nous rejoindre place du 8 septembre pour nous aider et/ou discuter autour d’une table d’information, ainsi que pour tracter sur le sujet de l’abolition de la viande, et, par extension, l’égalité animale. Boissons chaudes seront au rendez-vous. A samedi !
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Compte-rendu de l’action du 25 novembre 2015

Mercredi 25 novembre se tenait la journée mondiale contre le foie gras. À cette occasion nous nous sommes rendus place du 8 septembre pour y distribuer des tracts rappelant les cruelles réalités de la production de foie gras.

Nous avions également installé une petite table d’informations, pour permettre de développer les débats engagés lors du tractage, et proposer brochures, recettes et pétitions.
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Notre présence fut plus courte que lors d’autres actions, la pluie et le froid n’incitant guère les passants à prendre le temps de discuter avec nous, mais nous sommes néanmoins satisfaits d’avoir opéré cette petite piqûre de rappel à l’approche des fêtes.

Journée mondiale pour la fin du spécisme – compte-rendu

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En voilà un week-end qui booste le moral des militant-es ! Après une jolie (et tortueuse) balade dans le Jura, quatre membres du CABle se retrouvent dans le tramway genevois avec comme première très agréable surprise : la marche est annoncée sur les écrans des tramway ! Une fois installé-es dans notre chez nous temporaire, direction le premier rendez-vous militant du week-end …

Pour rappel, l’événement a été organisé par l’association PEA : Pour l’Égalité Animale.

Le programme :

21 août

21h – Conférence “Le spécisme, qu’est-ce donc?!” Salle Multatuli (rue de Montbrillant 16, derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

22 août

13h30 – Rendez-vous place de la Navigation

16h – Fin de la marche à Plainpalais

16h-16h30 – Discours

13h-18h30 – Village associatif à Plainpalais (stands d’information)

19h – Conférence et discussion “Lutter contre le spécisme: un enjeu crucial pour le XXIe siècle.” Salle Multatuli, rue de Montbrillant 16 (derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

23 août

11h-16h – Débats et partages autour du thème “Comment lutter contre le spécisme et pour l’égalité animale?” Salle Multatuli (rue de Montbrillant 16, derrière la Buvette de l’Ilôt 13)

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Action pour la JMAL

Ce mercredi 22 avril, nous étions 6 militant-es à avoir installé une table d’information et à avoir diffusé des tracts sur l’expérimentation animale, de 15h à 18h place du 8 Septembre. Petite vidéo sur cette action.
Ceci à l’occasion de la Journée Mondiale des Animaux dans les Laboratoires. Nous voulions sensibiliser le public à l’utilisation massive d’animaux malgré l’inutilité et la cruauté de ces expérimentations.

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Nous avions différents tracts présentant des méthodes substitutives, des listes de produits non-testés, ainsi que des informations plus générales sur l’antispécisme. Nous avons constaté que globalement la vivisection reste un sujet méconnu du public : nombreux sont celleux qui croient l’expérimentation animale nécessaire et inévitable, alors que de plus en plus de scientifiques se mobilisent pour son abolition – des exemples : Antidote Europe, Pro Anima et Ethicscience. Il reste donc un gros travail d’information à accomplir, même si nous avons déjà reçu des échos favorables.

Quelques actions pour la Journée Sans Viande

affichejsva3hdÀ l’occasion de la Journée internationale sans viande, qui a lieu tous les 20 mars, nous avons distribué des tracts à plusieurs endroits de Besançon. Organisé-es en équipe de deux, nous nous étions placé le mercredi 18 au restaurant universitaire de la fac de Lettres, le jeudi 19 au restaurant universitaire Canot et le vendredi 20 aux alentours de la place du Marché. Une bonne occasion pour faire réfléchir à une réduction de sa consommation de viande… voir à sa suppression.

Nous en profitons pour partager ici cette tribune parue sur le site de Libération. Elle aborde des thèmes que nous trouvons importants tels que le spécisme et la critique de l’idée de nature. Extraits :
Refuser son identité d’espèce en se définissant comme un être vivant et sensible est un moyen de lutter contre le spécisme et de favoriser l’avènement d’une société démocratique multi-espèces, telle que celle proposée par Sue Donaldson et Will Kymlicka dans Zoopolis.”
“Or, de même que la catégorie raciale et la catégorie de sexe sont le produit de rapports sociaux de domination qui leur préexistent et qu’elles légitimisent en les naturalisant, de même la catégorie d’espèce est le produit des relations de domination que les êtres humains exercent sur les autres animaux et dont elle interdit la contestation au nom de la Nature.”

Compte-rendu du stand d’informations et du happening contre le foie gras

L’action s’est déroulée Place du 8 Septembre, dès 15h, ce premier samedi de décembre. Une douzaine de personnes se sont associées pour témoigner de la cruauté qui se cache derrière l’un des mets les plus prisés des fêtes de fin d’année : le foie gras.

02En tant que CABle, c’était la première fois que nous organisions une action avec mise en scène (ou “happening”). Nous avons été heureux-e d’être rejoints par plusieurs personnes extérieures au collectif. Ainsi, certain-es portaient des pancartes expliquant comment est fabriqué le foie gras, d’autres tractaient, tenaient la table d’information et de dégustation, ou encore, pour une personne, jouait le rôle du “consommateur-e aveuglé-e”.

De nombreux regards intrigués se sont arrêtés sur notre groupe, et celleux qui tractaient ont 01eu des retours majoritairement positifs. Des signatures ont été récoltées pour la pétition.
Nous sommes restés en place près de 3 heures. À la tombée de la nuit, il était temps pour nous de filer nous réchauffer 😉

-> Un aperçu de l’action en vidéo <-

Deux membres de Combactive nous ont rejoint pour cette action. Plusieurs câblé-es ont déjà prit part à des actions menées par cette association basée à Dijon, ce qui sera le cas pour le stand d’information contre le gavage qu’illes feront le 27 décembre à partir de 14H, Place du 8 Septembre à Besançon.

Notre prochaine action sera sur le thème du foie gras

Nous vous donnons rendez-vous à Besançon le samedi 6 décembre, place du 8 Septembre, à partir de 15h.
Au programme : happening statique avec mise en scène et visuels, diffusion de tracts, pétitions pour l’abolition du gavage, stand d’information, mini-stand de dégustation d’alternatives au foie gras et projection de vidéos. Les participant.es volontaires sont les bienvenu.es !
-> Infos sur le foie gras

Nous profitons de cette occasion pour relayer une autre info concernant des oiseaux en détresse. Mobilisons nous avec L214 qui publie une vidéo filmée par un employé dans un couvoir de Bretagne, illustrant ainsi toute la cruauté du sort qui est réservé aux poussins.
-> Infos et pétition

En manif contre un élevage de visons

Le samedi 11 octobre s’est tenue la 3e manifestation contre l’élevage de visons d’Émagny, un village proche de Besançon.
Le déroulement de la journée a été très bien décrit dans cet article de l’association Planète Animaux. À voir aussi, le dossier de l’association Combactive.
Cette association a organisé la manifestation, nous saluons le travail de tou.te.s ses militant.e.s !

1794603_803819269660997_8498964692653469324_nQuelques autres associations ont tenu des stands au départ de la manifestation.

Vanessa Myotte, présidente de l’association Cœur sur pattes, nous a expliqué qu’elle comparaîtrait bientôt devant le tribunal pour avoir soustrait des chiennes à la maltraitance… Plus d’infos dans cette pétition. L’affaire est toujours en cours.

Nous avons discuté avec les membres de l’association dijonnaise C’est Assez.
Ces personnes sympathiques s’opposent à la captivité des dauphins et autres victimes des delphinariums. Elles organiseront la projection du documentaire Black Fish le 5 décembre à 20h30 au cinéma Devosge à Dijon.

À l’image des engagements de ces associations, nos dernières actions n’ont pas porté sur la thématique de la fourrure (mais principalement sur la thématique de la viande), mais nous nous insurgeons également contre la cruauté générée par cette industrie. Comment rester insensible à la détresse de ces animaux, élevés dans des conditions atroces, tués pour produire des vêtements à la mode ? La fourrure et la viande ont en commun d’être produites uniquement pour satisfaire des désirs gustatifs ou esthétiques non nécessaires aux humain.e.s. Elles sont l’expression de la domination spéciste la plus extrême – séquestration, torture, assassinat – mais sont pourtant banalisée dans nos sociétés.

Ci-après, des photos prises par des membres de la Fondation Brigitte Bardot, à l’intérieur de l’élevage, le 12 octobre 2014.

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Action SMAV de septembre 2014

Dans le cadre de la SMAV (Semaine Mondiale d’Abolition de la Viande), nous étions 8 personnes, lundi 23 septembre, de 17 à 19h, à sensibiliser les passants aux idées de la fermeture des abattoirs, de la disparition de la viande des étals, et d’un changement d’habitude alimentaire en faveur du végétarisme.

affiche-abolir-la-viandeDistribution de tracts, discussions, dégustations : nous avons varié les moyens pour montrer que le spécisme est une discrimination arbitraire et injuste et qu’une alimentation végétalienne (c’est à dire sans chair animale ni sous-produits animaux) est une alimentation facile, à portée de main et de bourse, et surtout, libérée de toute souffrance infligée aux animaux.

La dégustation comprenait cette fois-ci des madeleines nappées de chocolat et divers tartinables salés (houmos maison, pâtés achetés en magasin).

Nous sommes tou.te.s d’accord pour dire que l’accueil fut particulièrement favorable. Il y eut bien deux personnes pour ricaner, mais en règle générale, nous avons eu des réactions positives. Une dizaine de personnes se sont même dites végétariennes ou sur le point de le devenir. Une personne est prête à rejoindre notre collectif.
Voilà de quoi nous encourager à poursuivre, conforté.e.s dans notre conviction d’être sur la bonne voie…

Sentience, conscience, subjectivité et vidéos attachantes

Lors des discussions ayant eu lieu lors des Estivales de la question animale il a été fait mention de la déclaration de Cambridge sur la conscience des animaux. Deux ans après ce positionnement du monde scientifique on peut faire le bilan de l’inertie qui touche la société face à la condition des animaux d’élevage. Ce qui semble en cause outre la communication limitée sur ce sujet pourrait être le fait de focaliser sur la souffrance, chose négative et qui suscite une réaction de rejet dans le mental humain. D’ailleurs selon certains spécialistes, la conscience pourrait exister chez certaines espèces sans la souffrance. Notamment les insectes qui pourraient se voir reconnaître certaines capacités d’être conscients sans réagir pour autant à des blessures mortelles. La souffrance elle même se différenciant de la sensibilité par la présence d’une conscience on peut se dire que la conscience précède nécessairement toute vie mentale. Si l’usage du terme conscience peut paraître controversé, on peut lui substituer celui de sentience qui se définit par la capacité à appréhender de façon subjective les phénomènes extérieurs (stimuli) et intérieurs (émotions, pensées). Tandis que la conscience rajoute à cela la perception de sa propre existence, mais peut aussi évoquer la conscience du bien et du mal ou une conception spirituelle de l’existence.

Si au contraire de la seule souffrance on prenait la peine d’exposer toute la richesse de la vie mentale des animaux non-humains, on pourrait sans doute observer une prise de conscience qui ne passe pas par la pitié mais par une réelle compassion. Pour ressentir à la place de l’autre il faut faire l’expérience de ce que l’autre est susceptible de ressentir. Or dans le cas de la souffrance il est bien naturel de construire un mur émotif pour ne pas s’exposer aux souffrances d’autrui, surtout quand aucun moyen d’action ne semble disponible. Ces murs semblent toutefois s’effondrer vis à vis d’individus avec lesquels on aura créé des liens empathiques, dus principalement à des expériences positives partagées.

Soit ! Si la souffrance est l’objet de la lutte, le fer de lance pourrait tout aussi bien être la compréhension à la fois par la connaissance et le ressenti.

Sur ce halte aux tergiversations, place aux liens empathiques :

  • Relation mère enfant :

Une vache retrouve son veau sauvé de l’abattoir

Une poule et son poussin

Une lionne solitaire ayant pu avoir été rejetée d’une troupe, séquestre des bébés antilopes comme s’ils étaient ses petits

  • Câlins :

Vache et chat

Veau et chien

Lion retrouvant ceux qui l’ont élevé puis relâché dans une réserve

Un gorille et son sauveteur se retrouvent après 5 ans

Jane Goodall libérant un chimpanzé

Deux éléphantes se retrouvent après 20 ans de séparation

  • Jeu

Agneau avec un ballon

Des chèvres s’amusent avec une tôle

Des chèvres à dos de cheval

Chien et corbeau avec une balle

Un corbeau faisant de la luge sur un toit

Singe taquinant des tigres

Ours brun ayant développé un talent pour la manipulation de bâton. Les gardiens du zoo d’Hiroshima lui avaient simplement mis a disposition des bâtons pour jouer.

  • Traumatismes :

Mickael le gorille qui a appris le langage des signes par Koko une autre gorille exprime un traumatisme d’enfance impliquant probablement l’abattage de sa famille par des braconniers

Vache séparée de son veau

  • Joies :

Un troupeau de vaches retrouve leur pâturage après avoir été condamnées à l’abattoir

Première expérience d’un pré par des poules sortant d’un élevage en batterie

  • Compassion :

Un ours sauve un corbeau de la noyade

Un chat sauve l’enfant autiste de la famille d’une attaque de chien

Un troupeau de buffles s’enfuit sous l’assaut d’une meute de lions, abandonnant un jeune en proie mais revenant rapidement à la rescousse

Un autre buffle venant à l’aide d’un congénère sous l’emprise d’un lion

Une éléphante et une chienne se lient d’amitié dans une réserve. Suite à une blessure de la chienne l’éléphante se lamentait inexorablement jusqu’à ce qu’on les laisse se voir quotidiennement

Un écureuil protège un congénère défunt au bord d’une route des corbeaux charognards

  • Exploits :

Un cochon s’échappe d’un camion l’emmenant à l’abattoir

Vache ayant appris à s’évader

Évasion d’un chien d’une cage

  • Comportements culturels :

Une chimpanzé initie la mode de la paille dans l’oreille : http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/actu/d/singe-herbe-oreille-naissance-coutume-chez-chimpanze-54392/


Nous avons essayé de recenser des comportements spontanés et non induits par une expérience ou un dressage. Cela fausse totalement la manière dont on peut percevoir l’autre qui est comme dépossédé de sa propre action ou réaction.
Oui on pourrait utiliser le terme usuel “naturel” mais celui-ci a plus de défauts d’interprétation et d’idéologie sous-jacente que d’usages pertinents. Pour autant ce n’est pas parce qu’un individu est dans un environnement artificiel dans le sens d’humanisé, qu’il ne peut avoir des comportements spontanés.

Alors nous accueillons chaudement tout contenu allant dans ce sens pour étoffer cet article et aussi en prévision de notre projet de wiki sur la condition animale !